La venue à Dijon de F. Hollande fait partie d'un vaste plan de communication visant à redorer l'image fortement ternie du président de la république. Comme nous le découvrons progressivement, ce passage dans la capitale des Ducs était parfaitement millimétré et les méthodes utilisées, dignes de l'URSS...
François Hollande poursuit sa stratégie de président normal. Pour cela, en tant que "citoyen lambda", le président a annoncé un cordon de sécurité léger : ainsi, peu d'hommes en uniformes étaient présents lors de son passage dans le quartier sensible des Grésilles. Mais la réalité est tout autre : selon nos sources proches de la police Dijonnaise, plus d'une dizaine de policiers habillés en civil étaient chargés de protéger M. Hollande. Mais pas que... ces policiers jouaient d'avantage un rôle de service d'ordre et de censure.
En effet, comme nous vous l'indiquions précédemment, plusieurs opposants ont été interpellés par les forces de l'ordre après avoir crié au président leur mécontentement. Comme le montre la vidéo ci-dessous, de nombreuses personnes ont été fortement malmenées.
Autre fait choquant, le journal le monde indiquait hier que les 3/4 des personnes présentes auprès du président étaient des militants socialistes. Ces gens étaient notamment chargés de plaider la cause de F. Hollande auprès des habitants du quartier mais aussi de la centaine de journalistes présent lors de l’évènement.
Ces méthodes de quasi-propagande, ne sont pas sans rappeler les stratagèmes utilisés dans les dictatures lambda : un entourage fort destiné à propager les idées du parti, et une police chargée de museler les opposants. Ces méthodes ont-elles leur place dans une démocratie dont la liberté d'expression est un des fondements ?
Samuel Cour
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