Tribune - Harlem Désir ou l'idéologie antiraciste aux commandes du premier parti de France

Communiqué de Presse de Marion Marechal – Le Pen

La nomination de Harlem Désir comme premier secrétaire achève de discréditer un Parti Socialiste qui s’est progressivement éloigné de sa base populaire pour concentrer sa stratégie sur la séduction du vote des minorités...

Symbole des années Mitterrand, où les trotskystes avaient reçus pour mission d’infiltrer les mouvements issus de la marche des beurs pour en faire un satellite du PS, Harlem Désir fut un des grands ordonnateurs de SOS Racisme, officine qui a tant contribué à culpabiliser les Français en assimilant toute politique de préférence nationale à du racisme et en poursuivant devant les tribunaux tous ceux qui doutent des bienfaits de l’immigration massive.

La présence d’Harlem Désir à la tête du parti qui domine, plus que jamais aucun parti, les institutions nationales est là pour rappeler la stratégie du PS, tristement décrite dans les études de son think tank Terra Nova : abandonner l’électorat populaire et ouvrier pour se focaliser sur les minorités, et notamment sur les français issus de l’immigration récente, dont on sait qu’ils votent à gauche pour les trois quarts voire plus.

On notera ici que le nouveau premier secrétaire a été nommé, sans vote des militants de gauche, par la volonté du Prince. Ses condamnations pour emplois fictifs rappellent enfin la haute morale républicaine de SOS Racisme, association vivant de subventions publiques et pourtant souvent mise en cause pour sa gestion, notamment lors de l’affaire Dray.
Il y a fort à craindre que la République exemplaire que promettait le candidat Hollande ne trouvera pas un promoteur très pugnace en la personne du nouveau premier secrétaire, laissant aux Guérini, Kucheida et à leurs émules une paix royale.

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